[Validé]Ayame

nom: Kurashi
Prénom: Ayame
Histoire de 10 lignes:

Les neiges froides des hivers du pays de l'eau... Ses guerres civiles, il y a 16 ans, était-ce vraiment fini? Peut être qu'en ses profondeurs non... Car beaucoup de gens perdaient la vie dans la plus stricte intimité... Ayame est née dans ce paysage froid et sanglant, elle même en portait les cicatrices. Elle passa ses 4 premières années tranquillement sans se soucier que même au sein de sa famille régnait cette atmosphère morbide et noire... Vers l'anniversaire de sa 5ème année de vie, elle se retrouva seule dans sa chambre, enfermée, comme a peu près tous les soirs depuis quelques mois. Elle n'était qu'une enfant, oui, à peine en âge de comprendre, mais elle comprenait. Elle le savait que trop bien. Son père, perdu dans l'alcool depuis assez longtemps, battait sa mère, violemment, et de plus en plus fort, avec plus de hargne quand il recommençait chaque soir. Quelle décadence pour un Ninja prometteur comme lui. Ce fut le coup de trop quand un vacarme envahit la cuisine. La table et toute la verrerie de la cuisine vola dans tous les sens. Des hurlements et des pleurs qui faisait de cette soirée, un enfer plus grand que toutes les autres soirées. Ayame décida d'aller voir, inquiète. La petite crocheta la serrure, et sortit de la pièce en marchant lentement, et en jetant entre ses dents un faible "Maman..." à chaque paire de pas. En arrivant dans la cuisine, l'horrible allait se produire devant ses yeux. Sa mère était déjà à terre, longeant le parquet coloré de son sang qui se déversait petit à petit, mais elle était en vie, encore, pour le moment... L'homme qui tenait une bouteille de vin, dont il venait d'en finir le contenu en une seule gorgée, hurla encore plus fort sans remarquer la fillette. Il prit la bouteille, et se jeta sur sa femme en la tapant, tel une bête enragée, sur le visage. La bouteille se brisa, mais il continua, encore, encore, jusqu'à ce que le crâne de sa femme craque, et qu'elle meurt sous ses coups... La fillette ne réagit pas... Trop petite pour comprendre que sa mère l'avait quitté, et fixant son père de ses yeux noirs...

Père: Aya... Ayame... Qu'est ce que tu as fait mon ange... Tu... Tu as tué maman? Hein?

Il s'approcha, la prenant fermement par les épaules et la secouant dans tous les sens.

Père: Tu as tué ta mère? Tu l'as tuée?! Elle est morte à cause de toi! Si tu... Si tu n'avais jamais existé!!

La fillette ne pleura même pas, ne broncha pas, ce qui rendit la folie de son père encore plus grande, celui ci persuadé que c'était de sa faute, oui, de l'ange elle était passée au démon. Il l'attrapa par le bras, la trainant en longueur, la petite fille baignait dans le sang de sa mère... Le père prit une barre de fer, pour l'assommer, puis ce fut le trou noir... Elle pouvait discerner que son père voulait se suicider, mettre feu à la maison... Puis elle entendait des voix... Les ninja, oui, elle était dans le bras de l'un d'entre eux, tandis que le rouge prit place au noir de la nuit, des flammes s'élevant, puis plus rien... Elle vit quelques parties de son enfance défiler devant ses yeux fermés, sa mémoire, déchiquetée, ses souvenirs, disparaissant... Ce n'est que beaucoup plus tard qu'elle se réveilla, une chambre blanche, des draps blancs, une lumière blanche... Une chambre d'hôpital, oui surement... Elle allait mieux, c'est ce qu'elle entendait de la part des médecin, mais elle était orpheline, abandonnée, seule... La folie de son père avait tout emporté. Elle fut seule face à elle même de longues semaines, toujours dans cet hôpital quand on l'envoya dans un orphelinat. Bien sur là-bas, elle serait éduquée comme il faut, en tant que Ninja, parmi d'autres enfants comme elle. Mais de tous, elle était vue comme une petite fille étrange, elle ne parlait pas, elle n'avait pas envie de commencer à conter ce qui lui était arrivé, et de toute façon, c'était impossible. Elle fut élevée par ces inconnus, qu'elle n'a jamais aimé de par leur façon de l'attraper et de lui dicter comment faire ci, comment faire ça... Elle ne le supportait pas, c'était sa vie, elle en faisait ce qu'elle voulait... Alors quand elle eu 17 ans, elle quitta son village, devenant Nuke-nin... Elle alla par la suite à l'Akatsuki, où un grand ami l'attendait..

villages désirer: Akatsuki
villages d'avant: Kiri
technique:
-Chiyute no Jutsu
-Doku Kiri
-Scalpel de chakra
-Satsugaite no Jutsu
-Ranshinshou
[Ps: Ayame se bat avec un katana et n'a que des techniques, avec le chakra]

test rp de 6 lignes minimum: Seize ans aujourd'hui, seize petites années vraiment ridicules et qui ne pèsent pas lourd, oui. Cela faisait si longtemps qu'elle était ici, dans ce bâtiment horrible, laid, bon à démolir. Elle ne savait pas pourquoi elle était restée si longtemps ici, oui pourquoi alors qu'elle aurait très bien pu s'enfuir, loin, très loin et sans se retourner. Etait-ce par manque de courage ou de volonté, surement pas, non. Elle attendait le bon moment pour frapper. Pour quitter ce village répugnant, qui la chassait déjà de ses entrailles, après tout, c'était bien ainsi. Elle cherchait la bonne heure, déjà la veille, elle avait trafiqué les fenêtres si bien, et de telle sorte que personne ne pouvait remarquer qu'elle sortirait par cette même fenêtre sans un bruit. Elle avait aussi concocté un puisant sédatif pour que les personnes de sa chambre commune ne puisse pas l'entendre, et soient plongés dans le sommeil le plus profond. Elle n'attendait que ça, et ça la faisait rire d'ailleurs. Ce n'était encore que l'après-midi, et pourtant le soleil n'était pas au rendez-vous. Il n'y avait que des nuages noirs ou gris, un orage bientôt, qui allait éclater en sanglots. Elle aimait la pluie, c'était signe pour elle que quelqu'un pleurait et était plus triste qu'elle. Cela ne l'amusait pas non, mais la rassurait, profondément. Ceux qui avaient grandi et partagé ses leçons la fixaient encore de loin, avec ce même regard emplit de haine et d'incompréhension. Ayame leur renvoyait l'ascenseur, car depuis qu'elle était arrivée ici, ces regards n'avaient pas changé. Elle se dit que ces filles avaient de la chance, Ayame ne pourrait pas se venger, même si elle en mourrait d'envie, et leur sonnait au loin de retourner jouer et courir après les garçons. Ces mêmes garçons, qui en
voulant l'approcher de trop près, avaient reçu ce qu'ils méritaient.
Ayame était comme une bougie, et en voulant la toucher, ils se sont brûlé les doigts. Pauvres petites gamins puérils en effet... Ils ne connaissaient rien à la vie et jouaient les malins. Ca l'énervait et la dégoutait, dans ce monde elle se demandait si il y avait des hommes intelligents, et non pas débiles et pervers. Elle soupira un grand coup avant de rejoindre sa classe pour les cours de l'après midi. Une fois de plus c'était d'un ennui. Des choses qu'elle avait déjà acquis depuis 3 ans, mais qu'on refaisait encore. Quelle vie monotone... Mais elle ne se plaignait pas, car elle savait que c'était le grand jour. Au repas du soir, elle se rappelait des places que prenaient chacun... C'est comme si tout le monde avait collé son nom sur les chaises. Elle passa face aux repas déjà servi, et sans que personne ne remarque, versa quelques goûtes de son précieux sédatifs dans les assiettes de ceux de sa chambre. Elle mangea son repas, disons que pour une fois il était bon, et passa une soirée plutôt bonne, même si à sa grande habitude, elle était encore dans son coin. Elle finit, redonnant son plateau et montant dans les chambres, attendant minuit pile. Pourquoi minuit? Parce que c'était le commencement d'une nouvelle journée, ici, d'une nouvelle vie. L'heure passa lentement, et Ayame prit plaisir à regarder comment les autres tombèrent raide dans leur lit, ronflant comme des machines. Elle fixait les aiguilles de l'horloge en face de son lit, ne la quittant pas des yeux... Plus que quelques tours, quelques minuscules millimètres... Et BAM! Minuit, pile! Le son de la liberté avait sonné, non, même hurlé dans sa tête! Elle se leva de son lit, avec une agilité et une vitesse des plus innatendues, comme si son corps lui même la poussait à partir. Elle ouvra la fenêtre, aucun grincement, et personne ne broncha, oh oui, c'était trop beau, si magique! Elle marcha sur le mur, ses pieds emplis de chakra, refermant la fenêtre. Biensur elle avait avec elle quelques affaires, sans oublier son "jouet" favoris : son Katana. C'est un inconnu, qu'elle n'avait jamais revu d'ailleurs, qui lui avait donné, et dont elle avait gardé la possession secrète jusqu'ici. C'était un trésor, un enfant qu'elle gardait entre ses doigts fins et pressés... Elle eut envie de mourir de rire, éclater complètement, mais elle garda ce calme... Arrivée en bas, elle passa le gardien si facilement qu'elle affirmait aujourd'hui que c'était vraiment un incapable. Tous ces idiots demain feraient une tête encore plus haineuse en voyant qu'elle serait partie. Après avoir quitté l'établissement, elle prit une grande bouffée d'air. Ce n'était pas assez, il lui en fallait plus encore. Elle se faufila le long des rues, dans l'ombre, lentement comme un chat... C'est dans ses rues que des images floues parcouraient l'esprit d'Ayame... Une réminiscence, enfin? La jeune femme ne savait pas si c'était bien ou pas de retrouver son passé, mais à l'heure actuelle elle s'en fichait pas mal. Après une demie heure de marche, peut être plus, elle arriva face aux portes. Personne pour la garder, quel miracle! C'était la plus belle occasion de sa vie! Elle fit un pas, puis deux, puis se mit à courir, pour finalement sortir du village. Elle leva les bras, enlevant son bandeau de son front, et le rayant simplement avec un Kunai. Elle le mit ensuite dans son sac, poursuivant sa route. Ce n'est qu'en étant bien éloignée du village qu'elle se mit à hurler de joie, à hurler pour la liberté, elle n'appartenait plus au village et était devenue une désertrice, oui, c'est sur! Mais de toute façon, elle n'allait pas en pleurer au contraire.

-ENFIN! LIBRE! AHHHH................ Allons y...

Moi je trouve que c'est assez pour être dans l'Akatsuki... ^^ Bienvenu... Pour ton grade, je n'ai pas les images... Alors je vais attendre Itachi-Sama... Mais tu peux rp!

Bon rpg à toi!

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